Psaume 142 (141)
Cantique de David. Lorsqu’il était dans la caverne.
À pleine voix, je crie vers le Seigneur :
À pleine voix, je supplie le Seigneur.
Je répands devant lui ma plainte,
Devant lui j’expose ma détresse.
Quand je suis à bout de souffle,
C’est toi qui sais où je vais :
Sur la route où je marche,
On m’a tendu un piège.
Regarde à droite et vois :
Personne qui me reconnaisse !
Plus de refuge pour moi,
Personne qui ait souci de ma vie !
J’ai crié vers toi, Seigneur !
En disant : « C’est toi mon asile,
Ma part sur la terre des vivants ! »
Sois attentif à mes cris,
Car je suis si faible !
Délivre-moi des mes persécuteurs,
Car ils sont plus forts que moi.
Peut-être es-tu, comme le psalmiste, dans une situation qui te fait dire : « personne ne fait attention à moi. Tout le monde s’en fiche de savoir si je suis vivant ou mort. Je n’ai que des galères. Je prends une voie et elle est pleine d’embûches cachées. J’ai des problèmes que je ne comprends pas vraiment et je ne sais pas comment les résoudre. Je ne sais pas vers qui me tourner. Je regarde à droite et à gauche. Personne ne se préoccupe de moi. »
Le Seigneur vient te réconforter, il vient te consoler, il vient te dire qu’il se soucie de toi. Il sait où tu vas, ainsi que le dit le psalmiste : « Quand je suis à bout de souffle, c’est toi qui sais où je vais. »
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